Dangers et limites des communautés sur Internet
Publié le 3 Avril 2013
Il convient d'être vigilant quant aux données que nous publions sur Internet, effet, celles-ci peuvent devenir publiques contre notre gré. Nous devons donc nous méfier des informations que nous publions sur les réseaux sociaux par exemple: Twitter, Facebook...
Le partage d'informations n'est pas le seul danger que représentent les communautés virtuelles. Des personnes sensibles (comme les mineurs) sont exposés aux vices du net (images choquantes, pédophilie, etc). Dans ce cas, un contrôle parentale est nécessaire.
Aussi, toute information échangée au sein d'internet doit être source de reflexion. Il faut donc "surfer" avec prudence.
Enfin, il est très facile d'influencer les membres d'une communauté virtuelle (secte, leader politique, etc). Encore une fois, nous nous devons d'être méfiant lorsque nous naviguons sur internet.
Pour illustrer notre propos, nous avons décidé de publier un article concernant
les internautes qui veulent protéger leur vie privée.
Dans l'article du Figaro de Cécilia Gabizon "Les internautes veulent préserver leur vie privée" les internautes critiquent la protection de leur données mais n'envisagent pas de faire plus attention. Ils estiment que c'est à Facebook de mieux protéger leurs informations. Dans cet article l'auteure insiste sur le fait que les Européens veulent plus de protection de leurs données mais elle omet de préciser que c'est aux internautes de faire plus attention à leurs informations personnelles qu'ils diffusent. Les premiers coupables sont ces internautes. Elle parle du "droit à l'oubli" mais oublie le fait que l'on peut toujours retrouver les données sur internet. Une fois diffusées, les informations ne sont jamais effacées, même si cela peut etre utile en certains cas, la plupart du temps, les utilisateurs de reseaux sociaux souhaitent voir certaines photos ou commentaires disparaitre mais c'est à eux de faire attention. Si ils n'avaient pas mis ces données sur internet, le problème ne se poserait pas. Bientôt un retour à la vie privée en faisant plus attention à nos données que nous publions sur Internet?